Kobayashi Genzô ~ Pris

» Nom: Kobayashi
» Prénom : Genzô
» Âge : 20 ans
» Sexe : Masculin

» Année Scolaire : 2ème
» Niveau : Universitaire.
» Club : Art - Dessin
» Option : Violon


» Description Physique : Mannequin de profession, Genzô est un jeune homme très beau. Plutôt grand, fin et élancé, il mesure exactement 1m82. Son teint pâle et ses yeux vert émeraude lui viennent des origines occidentales de sa mère.
Ses cheveux en bataille sont naturellement châtains mais il les a teinté couleur argent quand il est devenu modèle – ce que son agence avait plus qu’approuvé.
Aimant les beaux vêtements et ce qui met en valeur, il est rare de le croiser mal habillé. Les armoires de l’étudiant sont remplies de chemises et pantalons à la coupe mettant en valeur ses longues jambes fines.
Très myope, il porte généralement des lentilles mais, parfois, il porte sur son nez ses fines lunettes ovales à la monture argentée.

» Description Morale : Au travail, Genzô est un grand professionnel perfectionniste dont la réputation à ce sujet n’est plus à faire. L’étudiant est d’un naturel protecteur, tactile et très câlin, cette facette de sa personnalité venant du manque d’affection parentale qu’il a toujours ressenti.
Ayant tout plaqué pour arriver où il est en maintenant, il sait le prix de la vie, les efforts à fournir et a beaucoup de respect pour les gens qui se donnent la peine.

» Histoire : C’est un dix-neuf avril que Genzô vint au monde. Il était le deuxième fils de Dai et Marie Kobayashi. Contrairement à son frère ainé, qui avait hérité des yeux et cheveux noirs de leur père, le nouveau né arborait de beaux yeux vert émeraude et un petit duvet châtain poussait sur son crâne, héritage français de sa mère.
Dai était un simple artisan, propriétaire de sa propre épicerie alors que son épouse, Marie, était une journaliste d’origine française. Quelques années plus tôt, alors qu’elle faisait un de ses premiers reportages à l’étranger, elle avait rencontré Dai : la suite était facile à imaginer.
Malgré son mariage et la naissance de ses deux fils, Marie travaillait toujours et n’était pas des plus présentes.
Cependant, même avec ce métier prenant, Genzô se souvenait toujours de sa mère comme une femme adorable, souriante, des plus gentilles, pleine de vie… Le genre de femme dont on tombait facilement amoureux, certes. Son père, lui, était plus froid, du genre à ne sourire que très rarement, pas des plus tactiles…

Quand Genzô eut cinq ans, Marie donna naissance, cette fois, à une fille : Akemi. Des plus heureux d’avoir une petite sœur, le petit garçon tâcha très vite de s’en rapprocher et de s’en occuper.
Le même année, Marie partit pour une des plus grands événements à couvrir de sa vie. Genzô se souvenait à quel point elle était surexcitée… mais elle n’y arriva pas. Son avion s’écrasa et Marie Kobayashi trouva la mort, avec les autres passagers de l’avion.
Profondément atteint, Dai se plongea dans son travail et l’alcool, délaissant un peu ses enfants. Heureusement pour Genzô et Akemi, En’ichi, leur ainé, était là pour s’occuper d’eux. Lourde responsabilité sur les épaules frêles d’un enfant de dix ans.

Suivant une scolarité normale dans l’établissement de leur petit village, les enfants Kobayashi réussirent tout de même à bien grandir, seuls, leur père les ignorant à moitié, toujours au travail ou au bar…
Dès son plus jeune âge, Genzô s’intéressa de près au dessin et entra dans le misérable club d’arts plastiques de son école, sous les conseils de son prof de dessin. Il dessinait tout ce qu’il voyait : des gens, des rues, des animaux, des paysages… tout ce qui lui plaisait.

Un jour, alors que Genzô, âgé de treize ans, dessinait dans le jardin, Akemi jouant à côté, En’ichi les appela pour leur parler.
Ce jour-là, il leur avoua qu’il allait épouser sa petite-amie, Yuuki, et partir de la maison pour vivre avec elle. La révélation fit mal aux deux enfants mais ils voulaient le bonheur de leur ainé.
Une fois En’ichi marié, ce fut à Genzô de devenir l’ainé. Aussi prit-il deux fois plus soin de sa petite sœur.

Plus il grandissait et plus son attirance vers la mode se développait. Les vêtements étaient ce qu’il préférait dessiner, inventer, choisir… Ce fut sur un coup de tête qu’il décida de devenir styliste.
Quand il en parla à son père, ce dernier éclata d’un rire froid, conseillant à son fils de redescendre sur terre. Vexé, blessé, Genzô sentit le dédain enfoui pour son géniteur faire surface à partir de ce moment.
Il redevint un collégien normal… mais avec un rêve au coin de la tête.

Quand il entra au lycée, de plus en plus de monde dans son entourage lui faisait remarquer son physique flatteur et il découvrit avoir beaucoup de succès auprès de la gente féminine… pourtant, il ne faisait aucun effort.
Dans l’adolescence, victime de son nouveau succès, Genzô enchaîna les conquêtes. Un jour, sans trop savoir pourquoi, il raconta à l’une d’elle sa passion pour la mode… et le regretta.
En effet, dès le lendemain, sa passion secrète s’était ébruitée et avait subie le fameux ‘’téléphone arabe’’, si bien que la rumeur d’une homosexualité refoulée de Genzô était née.

L’année qui lui restait à l’école fut un enfer… Mais il réussit à avoir son diplôme. Une fois celui-ci en poche, le jeune homme, sans prévenir personne, se rendit à Fukuoka – la plus grande ville des environs, plutôt éloignée de son village natal – et passa une audition pour devenir un apprenti styliste.
Malheureusement pour lui, Genzô reçut un refus. Alors qu’il s’apprêtait à rentrer chez lui, le styliste sur place l’appela et lui proposait le poste, très bien payé, de mannequin. Poste qu’il accepta sans réfléchir.
Très vite, il rentra dans son village faire ses valises et, malgré son affection pour Akemi, parti à son tour. Son père ne croyait toujours pas en lui, il lui montrerait.

Une fois en ville, il emménagea dans un appartement spacieux, payé par son agence et y fit ses premiers pas. Désireux de tourner la page sur Genzô Kobayashi, il se faisait appeler ‘’Gen’’ et se fit une teinture, rendant ses cheveux châtains argentés.
Gen – ‘’Gen-chan’’ pour ses fans – ne mit pas longtemps à se faire un nom dans le mannequinat et, au bout d’un an, il était connu dans tout le Japon.

Au bout d’un an, son agence lui proposa des photos en duo avec une autre star de l'agence : Full Moon. Plutôt amateur du travail de la blonde, il accepta. Le shooting photo se passa très bien et Genzô découvrit en la jeune femme une amie à qui parler un peu – il était riche, reconnu… mais bien seul.
Le duo Full Moon/Gen marcha énormément et les deux mannequins travaillaient souvent ensemble depuis ce jour. Les magazines poeple faisaient même circuler la rumeur d’une relation amoureuse entre ceux deux-là. Rumeur qui les faisait sourire.
Très vite, ils devinrent proches et amis. Genzô lui raconta son histoire, son vrai nom et apprit, à son tour, qu’elle s’appelait Shirayuki Sawada, était lycéenne et… timide maladive ? C’était dur à croire quand on la voyait comme mannequin…

Shirayuki lui racontait sa vie de lycéenne à la Neko Academy et Genzô, son rêve de stylisme. Tous les deux s’encourageaient dans leurs rêves secrets et plus il entendait parler de la vie d’étudiante de Shirayuki, plus il se laissait tenter. Mais il hésitait, ses vieux souvenirs d’école le hantaient…
Mais selon la blonde, ceci n’arriverait pas, à la Neko Academy.

Finalement, un plus tard, alors qu’ils travaillaient ensemble depuis un peu plus d’un an et étaient devenus les meilleurs amis du monde, Genzô se laissa convaincre et fut accepté à la Neko Academy.

Une question se posait alors : allait-il faire comme sa collègue et cacher son identité – ce qui voulait dire, redevenir Genzô Kobayashi – ou y aller entant que Gen – ce qui signifiait ne pas montrer en public qu’il connaissait Shirayuki ?

A vous de décider =)

»L oisirs : Dessin. Pour le reste, à votre bon cœur, m’sieurs, ‘dames o/

» Lien(s) avec les autres personnages : Travaille avec Shirayuki Sawada en tant que mannequin.
» Feat : Kazuki Shiranui – Starry Sky.

Je laisse beaucoup de liberté sur le mental de Genzô =) A vous d’en faire aussi votre personnage ^-^