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 ~ Aldrin William ~

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♫ Miharu Kumiko
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♫ Miharu Kumiko


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Club : Musique
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Instrument & Sport favori: Violon & Equitation

~ Aldrin William ~ Empty
MessageSujet: ~ Aldrin William ~   ~ Aldrin William ~ Icon_minitimeSam 24 Nov - 17:58

Libre

~ Aldrin William ~ Williamx

Aldrin William

» Nom: Aldrin
» Prénom : William
» Âge : 20 ans
» Sexe : Masculin
» Travail dans l'académie : Surveillant


» Description Physique :
La dernière fois qu’il s’est mesuré, William faisait un peu plus d’un mètre 80.
D’origine américaine, il a des traits plutôt occidentaux. Son visage d’homme est plutôt carré, son teint est un peu pâle. Ses petits yeux couleur d’ambre ont toujours eu un petit quelque chose de perçant, comme s’il pouvait lire en n’importe qui.
D’un naturel confiant et quelque peu nonchalant, le jeune homme arbore souvent un sourire en coin.
Sportif, William entretient sa forme physique et possède, de ce fait, un corps plutôt bien bâti, avec des bons muscles là où il faut.
Ses cheveux blond foncé sont toujours en bataille, retombant légèrement ses yeux, ses oreilles et sa nuque. L’américain ne prend pas beaucoup de temps à les coiffer – de plus, il est conscient que cela joue à son charme.
Bien sur lui, William aime se vêtir de chemises aux premiers boutons ouverts, de vestes et de jeans. Pour les chaussures, selon lui, rien ne vaut la sobriété, le noir étant parfait. Le jeune homme aime les couleurs unies.

» Description Morale :
William a toujours été quelqu’un de nonchalant, à prendre les choses comme elles venaient en répétant « Carpe Diem ! » (ou « Hakuna Matata » pour déconner).
Très sociable, l’américain est quelqu’un de plutôt extraverti, avec énormément de charisme. Naturellement, il a beaucoup d’humour et sait rapidement se faire des amis.
Derrière cette allure nonchalante se trouve un bosseur qui sait qu’il faut faire des efforts dans la vie et se sent prêt à les faire. Même dans les coups durs, William tâche de ne jamais baisser les bras.
Will, comme il aime se faire appeler, s’obstine à croire aux rêves, encourageant toujours les gens à les suivre, c’est ainsi qu’il est devenu musicien.
Le jeune homme est surveillant pour gagner de l’argent, sinon, sa passion reste toujours la musique.
William est fumeur : nombreux sont ceux qui pensent que cela accentue sa nonchalance mais ses proches savent qu’il calme ainsi ses nerfs et ses angoisses pour ne pas qu’ils explosent.
L’américain déteste monter dans une voiture où il ne conduit pas, craignant les accidents.

» Histoire :
William est le benjamin d’une famille de trois enfants. Il ne lui fallut pas longtemps pour être quelqu’un de très axé famille et être très proche de sa sœur et son frère ainés.
La mère de William, Elaine Aldrin, décéda dans un accident de voiture alors que le petit garçon n’avait que cinq ans. Ce soir-là, il était d’ailleurs avec sa mère dans le véhicule et s’en sortira de justesse après un long passage à l’hôpital. Depuis ce jour, William déteste être en voiture quand il ne conduit pas et évite de conduire de nuit.

Depuis toujours, le petit garçon portait un immense intérêt dans la guitare acoustique de sa grande sœur – qu’elle ne prenait que rarement pour gratouiller les quatre seuls accords qu’elle savait faire.
Suivant une éducation normale dans sa petite ville, juste à côté de la grande ville de Boston, William était un bon élève mais se faisait toujours reprocher d’être dans la lune, absent.
Très rapidement, son père, Mike Aldrin, l’emmena chez un médecin pour quelques tests – William était tellement ailleurs que sa famille craignait une sorte d’autisme... Mais non, tout allait bien chez l’enfant.
Ce fut donc tout naturellement qu’il retourna à l’école.

Les mathématiques, l’anglais, l’histoire… tout cela ne l’intéressait pas vraiment. Non, les moments qui lui plaisaient, lui, c’était quand Anna, sa sœur, lui laissait le droit de toucher à sa guitare. Rapidement, le petit garçon essaya de faire un peu plus que les quatre accords que sa sœur lui avait montré. Mais c’était difficile… et ça faisait mal.
Agé de sept ans, William reçu son premier argent de poche – la famille Aldrin n’était pas des plus aisées – et ce fut sans attendre que le petit garçon se rendit à la librairie, chaperonné par Steve, son frère ainé. Une fois sur place, l’enfant acheta son premier livre de méthode musicale « Apprendre la guitare par soi-même ».
De retour chez lui, le jeune William s’enferma dans sa chambre et commença ses exercices.

Réalisant la passion de son fils, Mike lui offrit, à l’anniversaire de ses huit ans, sa première guitare à lui. Ravi, le petit garçon s’entraîna encore plus.
L’enfant continuait d’apprendre par lui-même alors que sa famille s’en voulait de n’être assez aisée pour lui payer des cours. Mais William – ayant rapidement pris conscience du coût de la vie -, maintenait que ce n’était pas grave.

Lorsqu’il fut âgé de dix ans, le jeune garçon entendit parler pour la première fois de Berklee, College of Music, dans un magazine de musique qu’il avait acheté, dans lequel il était écrit que la fille de deux grands artistes de la musique y suivait ses cours. Cette école était à Boston, tout près… ce qui laissait l’enfant rêveur…
Mais, malheureusement, elle était bien trop chère. William mit donc ses rêves au placard.

Malgré son naturel rêveur, William continuait naturellement ses études, dans un établissement public de base.
A l’âge de douze ans, le préadolescent décrocha un petit boulot, dans l’entreprise où travaillait Mike, dans lequel il suffisait trier des papiers – le père de la famille Aldrin travaillait dans une imprimerie. Mike expliqua à son fils qu’il pouvait gagner son argent pour se payer des cours de guitare.
Mais cette proposition réveilla de vieux rêves… et William voyait plus haut.

Finalement, deux ans plus tard, il avait économisé suffisamment d’argent et, sans le dire à sa famille, alla, seul, un après-midi, passer le concours d’entrée à Berklee. Où il fut accepté.
Submergé par la joie et la fierté, Mike laissa son garçon quitter l’école à peine son premier diplôme obtenu, pour se concentrer sur sa passion. Pour payer ses cours à Berklee, William continuait à travailler en même temps, mais dans une autre entreprise. Maintenant, il était vendeur dans un magasin de musique.

Quelques semaines après être entré dans la prestigieuse école, William apprit que la jeune fille qu’il avait vue dans un magazine, grâce à qui il avait apprit l’existence de cette école, venait d’obtenir un prix plutôt prestigieux pour son jeune âge – elle était de deux ans sa cadette.
Ce fut donc tout naturellement qu’il la félicita en la croisant dans les couloirs – apprenant ainsi qu’elle s’appelait Elena Takishima.

Sans réfléchir, William proposa à la jeune Elena d'être son amie, mais cette dernière semblait crispée, méfiante... pourquoi ? Elle répondit alors au guitariste que l'on devenait pas amis comme ça, qu'elle ne le connaissait même pas.
Deux jours plus tard, William se présenta devant elle et lui joua une chanson - très simple - qu'il avait composée, dans laquelle il racontait plein de détails sur lui : ce qu'il aimait, n'aimait pas... etc.
Un peu perdue au début, Elena éclata de rire. Ce fut ainsi qu'il devinrent amis.

Son éducation musicale, bien que difficile le ravissait et il s’était fait naturellement plusieurs amis… tout allait bien pour William. D’un naturel plutôt beau garçon, l’adolescent ne mit pas longtemps à avoir ses premières conquêtes… mais ses relations ne duraient jamais longtemps.
William passa donc trois ans ainsi, à valser entre cours de musique, son travail, son groupe d’amis – dont Elena faisait partie – et ses aventures, qui ne duraient vraiment jamais. Mais tout lui allait. Sa nonchalance n’allait qu’en s’augmentant au fil des années.

Cependant, en cachette, William continuait à s’instruire en lisant des tonnes de livres sur les matières enseignées à l’école… il ne voulait pas devenir un musicien bête.

L’année de ces dix-sept ans fut celle où Elena reçut son dernier diplôme de Berklee, ce qui signifiait qu’elle allait quitter l’école. William s’en senti étrangement touché et, à la soirée organisée entre amis pour fêter le diplôme de l’adolescente, il passa beaucoup de temps à réfléchir : Elena lui plaisait, non ?
Pourtant, elle n’avait rien des jeunes femmes avec qui il avait l’habitude de flirter… Il aimait les femmes sobres, douces, était mal à l’aise avec les gens fortunés et, aimait particulièrement les femmes au physique très avantageux.
Et voilà : Elena était jolie, certes, mais pas la plus belle du groupe… elle était plutôt excentrique, très souriante, ne tenant pas beaucoup en place, elle aimait les couleurs bariolées, les rayures et les bijoux… tout ce qui, en temps normal, le dérangeait. Mais à elle, ça lui allait. Et, enfin, la famille Takishima était une des plus grandes fortunes de Boston, si ce n’était la plus grande.
Finalement, à cette soirée, quand la jeune femme – quelque peu alcoolisée – l’embrassa, il se laissa faire. Ca lui plaisait.

Ecoutant sa devise, William devint le petit ami d’Elena ce soir-là.

La routine de William était maintenant : Berklee, le magasin, les fêtes (alcool, cigarette), s’instruire et Elena.
Habitué aux relations courtes ou sans lendemain, le jeune homme s’étonna d’éprouver autant de bien-être dans une vraie relation durable. Il pensait qu’il allait vite se lasser d’elle… ou elle de lui. Mais non, ils étaient heureux. Ils montèrent même un groupe ensemble où William faisait guitare/chant masculin et Elena, piano/chant féminin. Tout allait bien.
Il avait même arrêté de fumer pour elle, qui ne supportait pas ça.

Mais le bonheur tout rose ne dura pas longtemps puisqu’un soir, au travail, William fut appelé d’urgence sur son portable par Alex, le petit frère d’Elena, pour lui dire qu’elle était à l’hôpital.
Inquiet, il se rua à son chevet – il avait décroché son permis l’année de ses dix-sept ans – et découvrit les raisons de son hospitalisation.
Quelques jours plus tôt, il avait convaincue sa petite amie de participer à un concours de musique, espérant ainsi l’aider à gagner en confiance en elle. Ce concours, elle le remporta et ils furent ravis. Mais voilà, le second, jaloux, avait… brisé la main d’Elena.
Le verdict était tombé : elle ne pouvait plus jouer.

Finalement, grâce à beaucoup de réanimation, la jeune femme retrouva l’usage de sa main droite et William s’en ravit mais… elle avait perdu en souplesse et technique et ne pourrait jamais plus jouer comme avant.
Ce fut donc logiquement que la jeune femme tomba en dépression.
D’un naturel altruiste, William la suivit dans sa chute. Si bien qu’il décrocha son diplôme de Berklee à dix-huit ans, avec des notes bien moins hautes que ce qu’il était capable de faire.

L’état mental d’Elena allait en s’empirant. Elle avait décidé d’abandonner totalement la musique, malgré les encouragements de William et leur entourage. Ils avaient donc du la remplacer dans le groupe, chose qu’elle avait, malgré tout, mal pris.
Elle ne s’en rendait pas compte et William savait que ce n’était pas réellement sa faute mais avec sa dépression, elle enfonçait tout son entourage vers le bas : lui, son petit frère, leurs amis…
William, qui était toujours souriant et nonchalant, devint alors anxieux et quelque peu à fleur de peau. Il se remit à fumer. Beaucoup plus qu’avant.

Leur relation était au plus bas, ils n’avaient plus de couple que le nom mais aucun des deux n’amenait le sujet de la rupture sur le plateau. Ils se contentaient de ne pas se voir. Ils s’aimaient, c’était sûr, encore maintenant…
Ils avaient vécu tellement de choses, ils représentaient tellement : pour Elena, William était son premier petit ami. Pour William, Elena était la première qu’il aimait.
Mais la vérité était là, pesante : ils ne pouvaient pas rester ensemble, ils se faisaient du mal. Cela ne rimait plus à rien.

Finalement, à une after de concert bien arrosée, William céda à ses vieux démons et succomba au charme d’une danseuse pour une nuit. Lorsqu’il l’annonça à Elena, cette dernière eut la réaction détachée qu’il attendait, lui-même le lui avait dit de manière détachée.
C’était officiellement fini, deux ans de relation qui s’achevaient.

Malgré lui, William était dévasté de cette rupture et s’enfonça encore plus dans sa dépression… Mais Elena ne put le voir, non. Elle était partie au Japon, elle avait fui, pour refaire sa vie.
Le jeune guitariste prit sur lui, affichant sa nonchalance habituelle mais n’arrivait à oublier la jeune femme avec qui c’était impossible.
Beaucoup de choses lui rappelaient Elena autour de lui... ne serait-ce que sa guitare préférée, cadeau de la jeune femme à son anniversaire...

Au bout de quelques semaines, il reçut un mail de son ex-petit amie dans lequel elle racontait un peu sa nouvelle vie au Japon, son arrivée dans une école appelée la Neko Academy – marrant, comme nom – et comme sa vie allait en mieux.
Ravi, il décida de remettre, à son tour, sa vie sur pieds.

Maintenant âgé de dix-neuf ans -, William avait réussit à remettre sa vie sur le droit chemin : il fumait moins – mais encore -, jouait souvent, composait, avait repris le sport. Il se sentait mieux. Il recommençait même à avoir quelques aventures… mais restait persuadé que cela ne durerait pas.
Malgré ses efforts, il ne pouvait oublier Elena… et comprenait, par le biais de ses mails, qu’elle non plus, ne pouvait l’oublier. Mais elle tenait trop à sa nouvelle vie, il comprenait. Elle allait mieux, lui aussi, c’était bien.

Un soir, en rentrant du travail – il ne travaillait toujours au magasin de musique où il s’était vu confier la section guitare -, William reçu un appel de l’un des membres de son groupe, qui faisait un peu office de producteur. Celui-ci lui proposa une offre : Will et lui, Keith – bassiste -, se voyaient offrir une place dans un groupe japonais qui tournait bien plus que le leur… même beaucoup. Mais, pour cela, il fallait déménager.
Japonais… le Japon… Trop beau et trop affreux en même temps.
William hésita longtemps avant d’accepter.

Lui, fraîchement âgé de vingt ans, et Keith partirent donc au pays du soleil levant, des rêves plein la tête.
Une fois sur place, ils prirent un appartement ensemble et allèrent voir ce fameux groupe.
En effet, il s’agissait d’un groupe de rock qui faisait énormément de dates. Mais… il fallait les assurer. Du coup, pour que Will et Keith s’intègrent bien – et avec la technique, le répertoire… et avec la langue -, ils durent faire des répétitions.
Il fut accepté, d’un commun accord, qu’ils ne tournent qu’aux répétitions jusqu’à la prochaine tournée, l’année prochaine.

Mais un problème se posa bien vite pour les deux américains : il fallait trouver du travail. Keith, étant bien plus mauvais en japonais que William – avantage d’avoir eu une petite amie moitié japonaise -, craignait de ne jamais trouver.
En effet, ils eurent beaucoup de mal et leurs journées consistèrent à chercher un emploi. Comment payer les factures, sinon ?

Quelques semaines après son arrivée au Japon, William passa, à pieds, devant la Neko Academy et resta quelques secondes à fixer l’établissement, hésitant. Et si… ? Après tout, qu’avait-il à perdre ? Il fallait bien qu’il gagne de l’argent…
Il venait pour un travail, pas pour elle.

Après un entretien, l’américain fut accepté comme surveillant dans l’Academy. Ravi, il reprit le chemin de son appartement pour l’annoncer à Keith. Il n’avait pas encore croisé Elena…
Et si elle lui en voulait, de faire resurgir ainsi son ancienne vie ?
Pourraient-ils se parler normalement, après tout ce qui s’était passé entre eux ?

»L oisirs : Jouer de la guitare, chanter, composer, aller courir, jouer au basket, se promener, nager. William aime aller se poser dans les endroits qui lui plaisent pour composer – il préfère le faire en extérieur.

» Lien(s) avec les autres personnages : Ex-petit ami d’Elena Takishima.
» Image(s) : Je laisse le plaisir de chercher celles que vous voulez o/
» Feat : Durarara ! – Heiwajima Shizuo.


~ Personnage proposé par Elena Takishima ~

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