Jeremiah, ou comment faire plus doux qu'un agneau.

Et pourtant, l’habit ne fait pas le moine.

Jeremiah, ou comment être plus doux qu’un agneau. Le jeune homme est attentionné et pense toujours à son prochain. Une gentillesse que l’on retrouve rarement chez autrui. C’est là également un problème : à force de trop penser aux autres, il oublie de penser à lui-même.  
Il est également extrêmement timide  et ne fera jamais le premier pas. Bien que cela ne se voit pas sur son visage, il est facilement gêné et mal à l’aise, surtout lorsqu’un silence lourd s’installe. Car Jeremiah est aussi très sensible. Sensible dans plusieurs sens : tout d’abord vis à vis des émotions. Ce que vous ressentez, il le ressent fois cent, sans exagéré. Ensuite sensible au changement climatique, et horaire. Il tombe très facilement malade pour cette cause.
Grand rêveur, souvent dans la lune, il est difficile de le faire sortir de son monde. Dans ces moments-là, à moins de le cogner, de faire de grand bruit ou de grand geste, il ne fera pas attention au monde qui l’entoure. Dans un certain cas, cela peut se montré comme une qualité, car il a beaucoup d’imagination et laisse passé ses émotions dans sa musique.

Sa musique, voilà un grand point. Depuis son plus jeune âge, il pratique le piano et le violon. Lorsqu’il joue, il est comme transformé. Il devient moins introverti et s’ouvre plus aux autres. Pour ce qui est de ces autres passions, on peut aussi parlé de la poésie, ainsi que le théâtre. Il aime aussi de nombreuse autre chose, comme le lait à la fraise, la nature, le bruit des vagues et celui de la pluie, les chats –animal possédant une grande classe, selon lui-, les oiseaux colorés, aller au zoo, les glaces à l’eau, l’automne, mais beaucoup d’autres choses qu’on ne pourrait pas cité.
Cependant, il y a peu de chose qu’il n’aime, on peut par exemple citer la chaleur de l’été,  la télévision et toutes les idioties qu’on peut y voir, les chien –il en a peur-, ainsi que le syndrome de la page blanche.



Grand, élancer, peu musclé, cependant des épaule large, ses bras son fin, presque osseux. Tel est sa carrure. Sa taille avoisine les un mètre quatre-vingt-dix. Aucune forme n’émane de son profile, ni au niveau de son torse, ni de son postérieur. L’air béat, la tête et le haut de son dos avancé vers l’avant, signe d’un début de scoliose .De grande main, nervuré par des veines saillante,  le pouce droit de travers. Une grande pointure de chaussure aussi.

Une tête ovale, orné par deux yeux, ocre, exagérément écarté, enfoncé dans son crâne, laissant apparaitre de forts cernes ombrés en dessous de ces derniers. Entre ses pupilles safran, son nez, long fin, l’arrête presque carré, défini par la couche cartilageuse, débouche finalement sur le bout de son nez, orné de deux narine presque collé. Sa bouche, ni longue, ni étroite, ses lèvre sont légèrement pulpeuse, orangâtre virant au beige rosé, parfois  gris  de sa peau.

Ses cheveux, quant a eu, sont naturellement noirs. Quelque reflet bleuté grisâtre y apparaisse à la lumière, digne de la parure du maître corbeau. Cheveux en batailles, toujours avec cette légère odeur de thé à la menthe, cachant ses oreilles en feuille de choux.

Pour son style vestimentaire, il se contente de large t-shirt, de blouson en cuir, de pantalon dit slim, un style légèrement androgyne, sans pourtant vraiment l’être. La couleur dominante de ses vêtement son le blanc cassé, le noir et quelques légère touche de couleurs. Toujours très soigné, jamais d’habit taché, troué, froissé. Il porte autour de son cou une chaîne en or, dont il ne se sépare jamais.



Depuis que je suis enfant, je vis avec ma mère et mon frère dans un hlm en bordure de ville, juste en face de la gare. Ma mère seulement, car elle est divorcé. Aujourd’hui, cela est presque une convention sur terre, d’être divorcé. Du moins c’est l’impression que cela donne. Mon père nous as quitté lorsque j’étais âgé de 4 ans, mon frère de 6.  Aujourd’hui j’en ai 17, lui 19.  
Lorsque j’étais jeune, je tombais très souvent malade –encore aujourd’hui d’ailleurs. Je me souviens avoir manqué toutes la première année de cycle élémentaire, et j’enchaînais les visites à l’hôpital. Selon les médecins, c’est parce que mon corps a du mal à produire des cellules immunitaire. Ma mère me donnait les cours à la maison, et à la fin de l’année, j’avais finalement atteint le niveau nécessaire pour rentrer en deuxième année d’école élémentaire.  Alors que tous mes camarade se connaissait déjà, j’eu beaucoup de mal à m’intégrer dans un groupe, et restait donc souvent collé à mon frère, de deux année mon aînée. J’eu donc droit à des noms comme ‘lopette’, ou bien encore  ‘ bébé’. Je crois qu’un jours, mon frère en eu marre que je le colle, et me repoussa donc. Ce n’était pas méchant, juste normal, car je n’avais fait aucun effort pour m’intégrer.  Finalement, cela c’est bien terminer, car j’ai rencontré des personne très amicales, dont certaines m’ont transmis leurs amours pour la musique.
Lors de ma première Année de collège, je ne suis pas du tout allé en cours le premier trimestre, toujours pour cause de maladie. Alors que l’année précédente j’étais le plus petit de ma classe, je suis finalement devenue le plus grand. Mes épaules s’étaient également élargies, et ma voix avait mué. Un jour, je vins au collège avec un bandage sur la tête. Les rumeurs courrait que je me battais et séchait les cours, en bref je faisais peur à la bonne moitié du collège.  En vérité, je m’étais juste pris une armoire dans la tête. Et maladroit comme je suis, cela m’arrivait souvent de me blesser. Finalement, j’ai passé mes années collège seul, mais cela ne m’embêtait pas.
Pour ma première Année de lycée, je ne suis pas beaucoup allé en cours, car j’ai attrapé maladie sur maladie, après une tempête de neige. Finalement, je peux enfin retourné au lycée et me voici en seconde année.